| Fiche ouvrage | ||||||
| Code : | 21623 | |||||
| Titre : | Mémoire sur l'enseignement philosophique adressé à la chambre des Pairs ; [suivi de] Observations sur la controverse élevée à l'occasion de la liberté d'enseignement par M. l'Archevêque de Paris. | |||||
| Auteur : | [AFFRE Denis, cardinal-archevêque de Paris]. | |||||
| Edition : | Paris, Adrien Le Clère & Cie, 1844 - 1843. | |||||
| Année : | 1844 | |||||
| Format : | Deux ouvrages en un volumes in-8 de (2)ff., 40 pp. ; (2)ff., 86 pp. Quelques rousseurs éparses. | |||||
| Reliure : | Veau fauve glacé , triple filet à froid d'encadrement sur les plats, armes frappées au centre, dos lisse , titre doré en long. Infimes frottements. Reliure de l'époque. | |||||
| Prix : | 350 €uros | |||||
| Observations : | Rare réunion des oeuvres en éditions originales. Le 6 août 1840 à Notre-Dame de Paris, Denys Affre fut sacré archevêque. Dans l’exercice de cette charge, il se signala par une attention passionnée pour l’amélioration des études ecclésiastiques et pour la liberté de l'enseignement. On lui doit la création de l’école des Carmes et de l’école de théologie de la Sorbonne. Soucieux de l'évangélisation du prolétariat, il ouvrit de nombreuses paroisses ouvrières, comme celles de Ménilmontant, Plaisance, Petit-Montrouge, Maison-Blanche, Petit-Gentilly, Notre-Dame de la Gare, Billancourt, Gros-Caillou ou encore Sainte-Clotilde. Pendant l'insurrection de juin 1848 le cardinal-archevêque de Paris avait cru que sa présence sur les barricades du faubourg Saint-Antoine aiderait à ramener la paix ; il reçut une balle le 25 juin et mourut peu après. Reliure aux armes Du Baron Guillaume Pavée De Vendeuvre (1779-1870). Homme politique français, député puis pair de France. Auditeur au Conseil d’État sous le Premier Empire, il devient maître des requêtes sous la Restauration. Il est conseiller général et député de l'Aube de 1820 à 1824 et de 1827 à 1837, siégeant dans l'opposition à la Restauration. Élu député du département de l'Aube il prononce son premier discours à la tribune de la Chambre des députés en mars 1821. Il y dénonce les manœuvres frauduleuses employées dans les élections. Le lendemain il est rayé du service ordinaire du Conseil d'État. | |||||
| Sources : | ||||||
| Catégories : | THEOLOGIE - RELIGIONS; | |||||
 |
||||||
 |
||||||
 |
||||||
 |
||||||
|
|
|